L'administrateur judiciaire a présenté hier le détail des six offres de reprise du groupe Nice-Matin en redressement judiciaire depuis le 26 mai.
De quoi prendre la mesure de la saignée qui menace les salariés : sur le seul groupe de presse (607 personnes sans ses filiales Eurosud et PubliNice), le nombre de suppression de postes va de 200 à 300, soit de un tiers à la moitié. Seul le projet de la SCOP se limite à 108 postes (169 suppressions de postes sur 1.100 pour le groupe et ses filiales)