Les avocats du consortium Neopar, éconduit dans sa tentative de reprise de la marque française, demandent une réouverture des débats au motif que son offre a été « délibérément entravée ».
L’histoire pourrait faire grand bruit au tribunal des activités économiques de Paris. Le cabinet de droit des affaires August Debouzy a demandé la « réouverture des débats » dans le cadre de la procédure de redressement judiciaire du Coq sportif, jeudi 26 juin, alors que le tribunal doit décider, vendredi 4 juillet, qui, de l’homme d’affaires franco-suisse Dan Mamane, installé à Dubaï, ou du consortium monté par le fonds Neopar, avec l’appui de l’américain Iconix, remportera la marque de sport française.