Le nom est connu à des kilomètres à la ronde, mais l’aura s’était estompé : l’an passé, Sainthimat, la fameuse enseigne de bricolage basséenne, a été placée en redressement judiciaire.
Sauvée au printemps, elle veut montrer, à l’occasion de ses 40 ans, qu’elle va renouer avec les (bonnes) affaires. Sainthimat s’était endormi. C’est ainsi que Franck Spiesser, porteur du projet de reprise, explique la mauvaise passe traversée par l’enseigne de bricolage qu’il a contribué à « sauver ».