Près d'un an après la sortie de redressement judiciaire du volailler breton, son premier client au Moyen-Orient, la société saoudienne Al Munajem, a annoncé lundi soir son entrée au capital.
Elle intervient alors que la filière est en pleine réorganisation.
Après avoir traîné des pieds pendant plusieurs mois, Al Munajem a finalement annoncé lundi soir son entrée au capital de Doux. À l'issue de l'opération, la société saoudienne détiendra 25% du volailler français, le reste étant entre les mains de D & P Participations, le holding de l'homme d'affaires Didier Calmels, qui avait racheté il y a un an la totalité de l'entreprise.