Placé en redressement judiciaire vendredi 1er avril, le groupe de presse normande revient à la case départ quatre ans seulement après avoir été sauvé in extremis de la faillite.
Paradoxalement, son avenir semble nettement moins incertain qu’en juin 2012.
La Société normande d’information et de communication (SNIC), éditrice des trois quotidiens Paris Normandie, Havre-presse-Havre-libre et Le Progrès de Fécamp, va bénéficier d’une période d’observation de six mois, jusqu’à l’été.