L'accord passé en mars par le groupe espagnol Abengoa avec ses créanciers, lui accordant sept mois de répit pour se restructurer et éviter la faillite, a été validé mercredi par le tribunal de commerce de Séville (sud).
Le groupe andalou, placé en pré-dépôt de bilan depuis la mi-novembre, avait réussi le 28 mars à faire adopter par les trois quarts de ses créanciers une clause dite de "standstill" (gel de procédure), suspendant toute demande de paiement anticipé de leur part et la vente de participations pendant sept mois.