Seize des 27 salariés ont décidé d'investir leur primes de licenciement dans l'entreprise Phil'Print.
Pas rancuniers, les salariés d'une imprimerie en faillite de Haute-Loire, qu'ils ont reprise sous forme d'une coopérative, ont embauché leur ancien patron, jugeant avoir besoin d'un "très bon technico-commercial". Phil'Print était promise à la fermeture.