Le tribunal de commerce de Limoges a prolongé, ce mercredi, la période d’observation du fleuron du « Made in France », placé en redressement judiciaire depuis le mois de janvier dernier.
La décision était attendue, elle n’a pas surpris Gilles Attaf, le patron de l’entreprise de costume de luxe « Made in France ». « Il a pris acte des changements que nous avons adoptés et des bonnes nouvelles, notamment en ce qui concerne France Confection, explique le PDG. Les charges de travail sont revenues à un bon niveau. »