La société pharmaceutique a perdu son principal client. Près de 300 emplois sont menacés dont près de 70 à Gennevilliers, si un repreneur n’est pas trouvé.
Soixante-seize emplois sont menacés. Début juillet, l’entreprise Isochem, basée dans la zone industrielle de Gennevilliers, a été placée en redressement judiciaire. L’avenir des salariés, spécialisés dans la chimie fine du secteur pharmaceutique, est donc flou. « La situation est urgente. On veut le minimum de casse sociale, argue Meliza Kacem, déléguée syndicale CGT à Gennevilliers.