Le groupe Actissia (France Loisirs) poursuit les négociations avec un possible investisseur.
Problème : les 10 millions d’euros promis par ce dernier ne sont pas là. Une somme vitale pour la pérennité du groupe et ses filiales noyelloises (Socprest, Setralog, Marigny & Joly et Teralibris). Prochain point d’étape, le 24 juillet. La menace : la liquidation judiciaire.