Deux offres proposent de reprendre la totalité de Paris Turf, premier groupe de presse hippique en France en redressement judiciaire, mais pas tous les salariés, une troisième offre sous forme de Scop des salariés ayant finalement capoté.
Le groupe, qui édite une dizaine de titres (Paris Turf, Bilto, Cheval Magazine etc.), et emploie 250 personnes, dont 120 journalistes titulaires et 50 pigistes, a pâti de l'arrêt des courses pour cause du coronavirus, qui l'a obligé à suspendre l'impression de ses journaux, ainsi que de la situation du distributeur Presstalis.