Placée en redressement judiciaire depuis juillet, la société française produisant un palpitant électromécanique à la pointe de la recherche s’est vu octroyer un nouveau délai par la justice.
Un ultime sursis. Ce mardi, le tribunal de commerce de Versailles (Yvelines) qui devait statuer sur la seule offre de reprise pour la société Carmat, produisant un cœur artificiel, a finalement renvoyé à une nouvelle audience, le 14 octobre. « Le juge a reconnu l’offre caduque et fixé la prochaine audience pour une requête en liquidation », a indiqué Stéphane Piat, son directeur général à l’AFP.