Un des deux repreneurs potentiels de l’entreprise de 90 salariés s’est retiré. L’autre investisseur, dont le projet ne prévoit plus la reprise de salariés en France, ne bénéficiera pas du tampon de l’administrateur judiciaire.
Une vente à la découpe se profile.
C’est le scénario du pire, pour l’ex-pépite française de la robotique. Le groupe Aldebaran, dont les petits robots humanoïdes Nao et Pepper étaient au début des années 2010 les coqueluches des salons mondiaux de la tech, se rapproche de la liquidation judiciaire.