Et comme toujours, dans ces circonstances, les plus faibles sont les premières victimes !
La Faculté des Langues de l’Université de Nantes demande à ses enseignants de chômer une semaine pour combler le déficit budgétaire de l’université. Les plus précaires d’entre eux, les vacataires, seront les premières victimes de cette mesure.
Cette situation n’est pas tombée du ciel hier matin. Une de mes vieilles amies, enseignante à Nantes, m’avait alerté il y a deux ans déjà, sur les graves problèmes auxquels cette institution était confrontée.