La mobilisation du lundi 8 décembre devant l’hôtel du Département avait entraîné la mise en demeure de l’association Sauvegarde de l’enfance de Haute Occitanie.
Depuis, la machine judiciaire s’accélère. Le tribunal judiciaire de Montauban va se pencher sur la demande de redressement judiciaire formulée par la gouvernance de l’association Sauvegarde de l’enfance Haute Occitanie (Sehoc). 270 emplois sont (notamment) en jeu.