Le tribunal de commerce examinera lundi l’unique offre de reprise de Caddie, en redressement judiciaire. Quelque 400 salariés sont concernés.
"Je tiens à Caddie de façon même déraisonnable." Voilà en quels termes s'exprimait samedi, sur Facebook, l'industriel Stéphane Dedieu. L'ancien directeur général du fabricant de chariots en fil d'acier joue gros : le tribunal de commerce de Paris doit examiner lundi, pour la deuxième fois en dix jours, son unique offre de reprise. Une réunion de la dernière chance.