Les abattoirs normands AIM qui emploient plus de 600 personnes en France devraient être placés en redressement judiciaire mardi avec l’espoir de trouver ensuite un repreneur, mais aussi la crainte de suppressions d’emplois à terme comme chez le concurrent breton Gad.
«Il s’agit de demander un redressement judiciaire, pour trouver un ou plusieurs investisseurs sur lesquels s’adosser. On en n’est pas du tout au stade de savoir s’il va y avoir une restructuration industrielle», a assuré Catherine Desgrandchamps, chargée de la communication des Abattoirs industriels de la Manche (AIM) basés à Sainte-Cécile dans la Manche.