Le quotidien du Sud-Est La Marseillaise, en redressement judiciaire depuis fin novembre, sera fixé sur son avenir mercredi.
Si la sauvegarde du titre semble acquise, elle se fera au prix d’importantes suppressions d’emplois, un «déchirement» pour ce journal engagé à gauche depuis sa création il y a 70 ans.
«J’attends la décision du tribunal» de commerce de Marseille, avance prudemment le secrétaire départemental du PCF, Pierre Dharréville, qui a porté - à titre personnel, précise-t-il d’emblée - avec Les Editions des Fédérés qu’il dirige, la seule offre de reprise encore en lice.